Face à cette situation, un regain d'intérêt s'est manifesté pour la proposition de James Tobin, prix Nobel d'économie, de créer une taxe sur les transactions sur les devises, dont le taux serait très faible de sorte qu'elle n'affecte pas les échanges de marchandises ou les investissements, mais de sorte qu'elle opère comme un grain de sable dans les rouages de la spéculation, c'estàdire qu'elle freine la multiplication des opérations à court terme.
Angesichts dieser Situation ist der Vorschlag des Nobelpreisträgers für Wirtschaft, James Tobin, wieder in den Mittelpunkt des Interesses gerückt, der sich für die Schaffung einer Steuer auf Devisengeschäfte ausgesprochen hat, die prozentual sehr niedrig angesetzt würde, damit sie die Warengeschäfte und Investitionen nicht beeinflußt, aber dennoch wie ein Sandkorn im Räderwerk der Spekulationen wirkt, das heißt, damit sie die Zunahme der kurzfristigen Transaktionen bremst.