Le premier, qui date de deux ans, est intitulé Alberta's Value Added Oil Sands Opportunities, et montre que, lorsque nous exportons du bitume dilué, nous ne couvrons que 35 % de l'éventuelle chaîne de valeur, alors que, si nous faisons de la valorisation et produisons du pétrole brut synthétique, nous nous emparons de 70 % de la chaîne de valeur.
The first one was called “Alberta’s Value Added Oil Sands Opportunities” from two years ago. What it shows is that when we export diluted bitumen, or dilbit, we capture only 35% of the potential value chain.